Ventura

vendredi 30 août 2019

Aujourd'hui, votre serviteur va enfoncer des portes ouvertes, il va vous dire que le dernier album du groupe suisse Ventura est une belle tuerie.

Six ans après leur dernière chanson, l'excellent Ananasses et son bottleneck dépravé, les lausannois reviennent avec une instrumentale qui rappelle peut-être l'indie cowboy underground d'Acetone sur un morceau qui s'appelle Acetone (hypothèse invérifiable mais séduisante n'est-ce pas ?).

Pour le plaisir, un petit Acetone

Et le reste est jamais bien loin du sans faute. Peut-être un peu moins de rentre-dedans mais toujours la même densité de riffs centrifuges et d'accordages ouverts. Et ce filet de voix qui arrive encore et toujours à se détacher du mur de guitares qui serpente tout le long de ces dix pistes.

Bref, comme promis, je m'en vais au vent mauvais sur cette lapalissade : le dernier album de Ventura tue. De manière générale, leur dernier tue toujours. Ultimo Necat.


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